À la fin du XVe siècle et au long de tout le XVIe siècle, la ville d’Ávila, coïncidant avec une étape d’apogée socio-économique, expérimentera une évolution dans son architecture civile, de maisons fortes et de palais, qui ira depuis le dernier gothique jusqu’à la renaissance, ce qui comportera la réhabilitation ou la démolition de ses anciennes maisons médiévales.
La plupart de ces dernières sont situées intramuros, suivant la tracée des pans de la façade fortifiée, qui compose une seconde ceinture de défense vers l’intérieur, adossées aux murs ou en configurant des places autour des portes d’accès à la ville.
Au long de cette route nous pouvons visiter le Monastère-couvent de Santo Tomás, le Palais de Blasco Núñez Vela, le Palais des Almarza, le Palais des Superunda, le Palais-Donjon des Guzmanes, le Palais des Dávila / Palais d’Abrantes, le Palais de Valderrábanos, le Palais des Velada, le Palais épiscopal, le Palais des Águilas ou de Don Miguel del Águila, le Palais des Verdugo, le Palais de Santa Cruz ou Bracamonte, le Palais de Don Juan de Henao ou de Benavites, le Palais des Polentinos, la Maison des boucheries, la maison de la Miséricorde, la Maison des Deanes et le Palais des Serranos.
